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Le bon, la brute et le truand soufflent sur leurs canons chauds, Bronson range son harmonica, le blondin retire son chapeau, celui de Lee Van Cleef a encore noirci : Ennio Morricone a passé l’arme à gauche. Sans ce compositeur italien, pas de spaghetti dans le western qui a influencé la surf music et le rock des sixties.
Hommage au Maestro qui, par sa musique associée au cinéma de Sergio Leone, a fait passer le western de l’âge d’or Hollywoodien et manichéen de John Wayne au lyrisme et à la grandiloquence des opéras italiens avec le twang des guitares électriques.
Ambiance guitares twang et cris de coyote, en décalage contrôlé et sans qu’Elvis ne touche aucun cachet !
Retrouvez l’article d’Alex Jaffray, publié dans Rolling Stone (en français), et lu à l’antenne, sur les rencontres du journaliste avec le Maestro Ennio :
https://www.rollingstone.fr/deces-dennio-morricone-compositeur-de-legende/
En prime, les plus grandes musiques de westerns du Maestro interprétées par le Danish National Symphony Orchestra :
Playlist :
Ennio Morricone – Per Qualche Dollaro In Piu (aka For A Few Dollars More)
Cosmonauti – For A Few Dollars More
Gasolines – For A Few Dollars More
Ennio Morricone – Titoli (From A Fistful Of Dollars)
The Ramrods – Ghost Riders in the Sky
The Shadows – Apache
Calexico – El Morro
Ennio Morricone – The Good, The Bad And The Ugly (Main Title)
Lost Acapulco – El Bueno El Malo Y El Feo
Calexico – Minas De Cobre (acoustic versi
Calexico – Glowing Heart of the World
Ennio Morricone – Man With A Harmonica
Stray Cats – Desperado
Reverend Horton Heat – Ride Before the Fall
Luis Enrique Bacalov – The Grand Duel – (Parte Prima) OST « Kill Bill »
